Ma nouvelle bande dessinée « Ce qui nous sépare » sortie aux éditions Futuropolis fin mai 2020.
C’est le récit d’un jeune Tunisien venu à Paris afin de poursuivre ses études grâce à une bourse au mérite, et terminer son master d’histoire contemporaine. Si Bilal découvre une vie pleine de possibilités, son statut d’homme arabe le rattrape dans une société française en crise identitaire. Ses fantasmes d’une « Europe de tous les possibles » se heurtent alors au racisme et aux préjugés.
Illustrations en soutien des quartiers populaires : au combat d’Assa Traoré et au collectif de défense des jeunes du mantois.
Ma participation à la revue dessinée d’octobre 2019 : une enquête menée avec Marie Pragout sur Emmaüs « A l’ombre de l’Abbé Pierre ».
Antisionisme = Antisémitisme ?
Pourquoi les États-Unis cessent-ils de financer l’UNRWA ?
La nouvelle loi israélienne sur « l’État-nation » a-t-elle légalisé l’apartheid ?
Pourquoi plusieurs médecins et personnels de santé sont-ils jugés en Turquie ?
Que signifie l’adoption d’une loi antiraciste en Tunisie ?
Une série d’illustration pour l’article d’Inkyfada sur les scandales liées aux prothèses mammaires : les Implant Files. En arabe et en français.
Trois planches, en poursuite de mon livre coréalisé avec Alain Gresh « Un Chant d’amour », réalisées pour l’exposition « La Palestine en dessin » en soutien à la Palestine et aux réfugié.e.s Palestinien.ne.s. A l’espace Niemeyer à Paris 19ème
Three drawings made for the exhibition supporting Palestine and Palestine refugee’s rights, in Paris.
Sept illustrations réalisées pour un partenariat entre Orient XXI et des médias arabes sur les réformes imposées par le FMI. A lire ici
Seven illustrations realized for a partnership between Orient XXI and arab media, about economic reforms dictated by the IMF.
En partenariat avec :
In partnership with :
Mashallah News (Liban/Lebanon), Assafir Al Arabi (Liban-Palestine/Lebanon-Palestine), Mada Masr (Egypte/Egypt), Al Joumhouria (Syrie/Syria), 7iber (Jordanie/Jordan), Maghreb Emergeant (Afrique du Nord/North Africa), Nawaat (Tunisie/Tunisia).
« Le néolibéralisme, qui n’est ici rien d’autre qu’un moyen pour les puissants de se reproduire et de rejoindre les élites mondiales, est ainsi non seulement nocif, mais également porteur de mépris envers les populations locales. » (Yassine Swehat – Al Joumhouria)
« Neoliberalism, which is nothing more than a way for the mighty to reproduce and to join the global elites, is not only harmful but also contemptuous of local populations. »
« Après le printemps, une jeunesse tunisienne », ma bande dessinée aux éditions Futuropolis sortie fin août 2018.
Prix de la Fondation Raymond Leblanc de la jeune création 2017
Prix de la bande dessinée politique France Culture 2019
Meriem, Chaymaa, Saif et Aziz traversent l’année 2013 à Tunis et au Kef, tout juste deux ans après la révolution, entre instabilité politique, chômage et désillusion.
Interview en podcast sur France Culture : Le Réveil culturel
Presque deux mois de résidence artistique dans la petite ville de Fujiyoshida, dans la préfecture de Yamanashi.
Aux pieds du Mont Fuji, quelques illustrations : deux filles perdues entre la Forest Aokigahara et le mont Fuji, une statue de singe vivante qui les regarde, et des moines marchant jusqu’au temple Sengenjinja, puis jusqu’en haut de la montagne sacré.
A nearly two month residency in little Fujiyoshida, in Yamanashi Prefecture.
At the feet of Mount Fuji, I drew about climbing girls lost between Aokigahara Forest and Mount Fuji, an alive monkey statue watching them, and devoted monks walking to Sengenjinja Shrine up to the top of the sacred mountain.
L’éducation pendant la Commune de Paris, mars à mai 1871.
10 ans avant Jules Ferry, 34 ans avant le séparation de l’Église et de l’État.
Hélène Aldeguer